
Brûle. Je t'ordonnes de sortir de ma vie. Je t'ordonnes de dégager, de partir loin, le plus loin possible de moi. Et moi qui avait imaginer tellement de choses, voila dans quel état je me retrouve. Complètement perdu entre l'amour et la haine, entre le bonheur et le malheur. Je me demande si c'est humain de ressentir deux sensations aussi opposées en même temps. Je crois que la seule chose qui pourrait me soulager c'est de t'étrangler, de te voir souffrir. Te voir brûler, te consumer, te voir me supplier, te voir bas, plus bas que tu ne l'as jamais été. Pouvoir jouir de ton malheur, comme tu t'amuses du mien. Je ne vais pas bien tu sais, à cause de toi. Tu ne t'en rend même pas compte n'est ce pas. Certainement que tu ne veux pas le voir. Certainement que ça te fiche une peur bleu tout ça. J'ai l'impression de dévaler la pente à chaque fois que je te vois, et que tu fais quelque chose qui me rend triste. Tu le fais sans cesse, à croire que tu fais exprès. L'amour, à l'amour. Pourquoi cette chose nous rend si malheureux parfois ? Et l'espoir parlons en. La peur, l'espoir et l'amour ne font pas bon ménage. Je te jure, j'essaye de ne plus penser à toi. Je te jure que j'essaye d'écrire un texte sur toi ne parlant que de mon immense haine à ton égard. Mais, je n'y arrive pas. Tu es un salaud, un enfoiré, un connard, un salopard, un gros con, un idiot, un ignoble personnage. Et je te jure, j'aimerai t'envoyer tous ses mots à la figure. Mais je sais que la seconde d'après je ne pourrais pas m'empêcher de te sauter dans les bras. L'amour, à l'amour. Sa vous consume jusqu'à ce que vous ne soyez plus qu'un tas de poussière, ou bien un légume vivant. L'amour, je vous jure que des fois on s'en passerai volontiers.

Ce rouge sur mes pommettes, ce coeur qui bat dans ma poitrine aussi fort qu'un tambour, seul toi en est la cause. A chaque fois que je parle de toi j'ai l'impression d'être une petite fille de maternelle tellement je suis gênée et à la fois si heureuse tant je suis amoureuse. Mais certaines fois tu sais, j'aimerai simplement que tu n'existes pas. Que tu ne me rendes pas triste, heureuse, malheureuse, peureuse, terrorisée, folle amoureuse en même temps. Ce sont des sentiments tellement durs à gérer quand on les ressent tous en même temps, et je me sens souvent perdue.

Tu es la seule personne capable de me faire me sentir aussi bien, aussi vivante, aussi heureuse, aussi moi. Il n'y a qu'avec toi que j'arrive à être moi même sans avoir peur. Il n'y a que toi qui me fait me sentir autant en sécurité. Tu es tout, la personne dont je rêvais, et je ne pouvais pas croire qu'une personne aussi parfaite puisse exister. Mais pourtant, tu es bien la, devant moi, à moi. Je vis dans un rêve, qui n'existerait pas si tu n'étais pas dedans.

VertexCigarette, Posté le lundi 04 juin 2012 08:17
J'adore le passage la :) << Ce rouge sur mes pommettes, ce coeur qui bat dans ma poitrine aussi fort qu'un tambour, seul toi en est la cause. A chaque fois que je parle de toi j'ai l'impression d'être une petite fille de maternelle tellement je suis gênée et à la fois si heureuse tant je suis amoureuse. Mais certaines fois tu sais, j'aimerai simplement que tu n'existes pas. Que tu ne me rendes pas triste, heureuse, malheureuse, peureuse, terrorisée, folle amoureuse en même temps. Ce sont des sentiments tellement durs à gérer quand on les ressent tous en même temps, et je me sens souvent perdue. \\
Mais le texte est bien en générale :)